Campagne de lutte contre la fraude dans les transports publics en Île-de-France

L’ensemble des opérateurs de transport urbain sont victimes de ce phénomène. Dans le contexte de crise économique actuel, l’impact financier est considérable pour les transporteurs mais également pour l’autorité organisatrice (Île-de-France Mobilités (anciennement STIF)). Valérie Pécresse, Présidente de la Région Île-de-France et d’Île-de-France Mobilités (anciennement STIF), a assigné des objectifs ambitieux aux opérateurs.

Une campagne d’information partagée entre Île-de-France Mobilités (anciennement STIF), la RATP, le SNCF et la région Île-de-France, vise à rappeler aux voyageurs les enjeux citoyens de la fraude ainsi que le durcissement des sanctions encourues depuis la promulgation de la loi Savary-Le Roux « relative à la prévention et à la lutte contre les incivilités, contre les atteintes à la sécurité publique et contre les actes terroristes dans les transports collectifs de voyageurs »

Disons non à la fraude dans les transports en commun.

Les règles ont changé pour les fraudeurs.

Dans les transports, fuir lors d'un contrôle, c'est maintenant jusqu'à 2 mois de prison et 7500 euros d'amende.

Dans les transports, la fraude répétée, c'est maintenant jusqu'à 6 mois de prison et 7500 euros d'amende.

Dans les transports, des agents peuvent maintenant vous retenir jusqu'à l'arrivée des services de police.

île-de-France, RATP, STIF, SNCF